Je dédie ces lignes à Timéo, Baptiste, chloé, Manon, Siam, Alex, Margot, Mimi, Jeanne et Rémi, Victorine, Neels, Blanche, à la fille de Camille ainsi qu’à ces enfants que je veux désormais grâce à toi, depuis que je sais que tu vis et que tu m’aimes. Je t’aime de tout mon cœur lkhayaba khatera diali, princesse Tagout.
lundi 21 avril 2008
points de suspensions... ...
Pas écrits depuis quelques temps… pas depuis l’histoire des débuts de cette associ-o désormais enterrée, profondément et heureusement (aucune inquiétude pour autant, le « O » survit et en ressort plus fort !).
Le dernier article conçu, dactilographié numériquement et non édité sur ce blog date de fin février. Il se voulait rigolo. Il rendait compte de 4 jours de travail et de rencontres intenses que je présentais comme une longue « journée exemplaire ».
Toujours, depuis que je suis ici, depuis que j’ai commencé cette nouvelle page de ma vie, depuis le mois 11 (novembre) revient cet obsession de vous conter cette incroyable distorsion temporelle qui me fait grandir de plusieurs jours en quelques heures. Mais prenez gare amis théoriciens, ceci n’est pas une loi mathématique tel les décalages horaires cher à Sir Greenwich. Je ne sais pas de combien j’ai vieilli, de combien j’ai grandi, de combien j’ai rajeuni… je sais que j’ai changé.
6 mois… 6 points de suspensions……
Bref l’article de fin février 2008 racontait des journées pleines de nouvelles, puis d’autres nouvelles se sont ajoutés, d’autres journées passant trop vite pour les coucher sur pc, trop pleine pour prendre le temps (si agréable pourtant) de laisser ses doigts courir sur des claviers QWERTY ou AZERTY sur lesquels les lettres sont imprimées en plusieurs langues, ou les touches restent parfois enfoncées au fond de leur logement en traçant sur l’écran ces lignes aux qualités graphiques indéniables mais assez chiantes assez vite…
Je voulais faire cet « article blague » pour vous dire combien c’est bon de s’allonger fatigué et de dormir d’un trait pendant quatre heures, ou seulement deux (ou une). Dormir comme on fait une sieste réparatrice. Au réveil, aucun problème d’oreiller aimanté. Puis recommence une nouvelle riche journée… pourtant désormais impossible d’envoyer cet « article blague » daba (maintenant) pour cause de perte de clé USB, gardienne de beaucoup de mes secret, travaux et amours. M’enfin c’est la vie ma Lili comme dit ma mère, la vida dé mierda comme disait Tonio et comme dit Jean Louis, denia henia (la vie est belle) comme disent les jibli chémélie.
En parlant de chémel (le nord), après avoir eu l’honneur et le privilège d’être adopté par les ch’minots ch’ti du ch’nord dl’ France et les soussi (habitant du sud) de la Belgique au cours de la dernière décennie, ces derniers 6 mois m’ont offert la naturalisation chémélie et soussi que je cherchais dans ce pays du Maroc qui abrite les dépouilles et les tombeaux de mes aïeuls (dont celui qui blasphémait, était putassier, homme d’honneur, travailleur, boiteux, ivrogne et grand père inoubliable susurrant surement de temps à autres « que vida negra, vida de mierda »).
En filigrane durant les quelques 20 dernières années de ma vie se posait cette bonne vieille question récurrente de mes origines au sein de mon cerveau et de mon cœur. Ce bidule existentiel nait de la remarque balancé au cours d’une joute verbale concernant la virilité paternelle (et donc indirectement la notre) par mon camarade de classe, ami a contre cœur car fils du plus gros client de mon père qui essaya de recréer entre deux gosses les rapports dominant / dominé, dentiste (son malhonnête de père) / prothésiste dentaire (le plus fort de tous les pères, le mien), il recréa ce dont son malhonnête de père devait éructer le soir au repas, les sons dégoutants de celui qui se croit fort maudissant celui qui se croit faible…… mais l’histoire corrigera le père malhonnête et le fils innocent car mon père enverra se faire foutre ce dentiste escroc (ce qui occasionnera une légère disette à la maisonnée) et je frapperai d’un magnifique coup de pied style Bruce Lee dans la nuque de ce branleur de mouche occasionnant un traumatisme suffisamment grave pour qu’il s’évanouissent pour de faux et ainsi me couvre de réprimande et de remords.
Mais revenons à l’altercation fondatrice de feu mon complexe originel ; un petit gosse de 7 ans sans poil a la quéquette qui m’envoie dans la face d’imbécile caractérisant cette période pénible de ma vie:
-« de tt’ façon t’es qu’un bounioul toi, ton père il est immigré ! Parfaitement !!! C’est mon père qui l’a dit !!! Et les autres, écoutez !!’COUTEZ LES AUTRES!!! LE PERE DE CEDRIC IL EST MEME PAS FRANÇAIS, C’EST QU’UN SALE BOUNIOUL !!! »
Je dois vous avouer que je ne comprends pas encore les sens et subtilités des mots « BOUNIOUL » et « IMMIGRé ». Ce que je comprends très bien en revanche c’est que cet ****** m’attaque sur un sujet que mon père et mes oncles barbus traitent en riant, les yeux humides, racontant ces histoires d’un pays au delà des mers, un lieu où ils ont grandis sous les rayons du soleil, au milieux de beaucoup de jeux, de dangers, de devoir et parfois de peine, de beaucoup de vie. Une maison où lors du moment sacré du repas la grand-mère demande le sel en italien, la belle-mère de sa fille lui tends en espagnol, ou le gosse juronne en arabe dialectal et ou la mère l’engueule en dialecte français. Une maison ou certaines prient dévotement quand leur époux cavale de port en port, d’autres sont soigneuse du feu reconnu et renommée, ou les gosses se cachent, braillent et rigolent excédant un père qui travaille dans cette ancienne médina de Casablanca que je foulerai au bras de la femme que j’aime quelques décennie plus tard cherchant les échos de ces moments. Un monde, une époque que je ne connais que lorsque bravant le sommeil et les injonction à filer dans ma chambre tout en haut, je reste près d’eux en bas, près des grands qui émerveillent mon imagination avec des odeurs, des paysages, des histoires fantastiques qui résonnent plus que jamais aujourd’hui.
Ce gros ***** de sa ***** *** m’attaque sur tout ça dans cette cour de récré ou la chasse au fille reste mon activité essentielle et favorite. L’enculé de sa race… devant les filles il m’insulte sur un passé dont je ne suis en rien responsable, sur une histoire, passé. J’en suis fier à l’intérieur malheureusement pour nous tous, je suis faible et lui répond que « TOUT CA C’EST DES CONNERIE, ET QUE C’EST SON PERE A LUI QU’EST QU’UN SALE BUNIOUILLE !!! QUE MON PERE C’EST UN VRAI FRANÇAIS » Son père est châtelain, sa mère châtelaine et des particules se baladent dans son nom de famille… je sais tout ça, je sais que son père est plus français que le mien. Mais à cet instant je ne sais à quel point cela n’a d’importance que dans l’enrichissement que cette différence peut apporter.
Je suis faible alors…
Je suis faible donc je me trahis.
Je sais que mon père vient d’ailleurs et j’adore ces histoires d’ailleurs. Je n’avais jamais pensé à en tirer quelconque fierté ou honte. Ma faiblesse et la langue de Thibault m’insinuent la peur, le doute, la crainte, le rejet et le devoir d’affirmer une chose que je ne comprends toujours pas aujourd’hui. Une nationalité.
Je vais dès cette âge jouer sur mes différentes et nombreuse origines (qui sommes toute ne reste que méditerranéenne…), les étalant et les triant en fonction de mes envies de mensonge pour flatter mon orgueil. Dans ma période fils d’origine italienne, fasciné par les film de mafia, je dirai à qui veux l’entendre que ma famille vient de Sicile, dans d’autres lieux et à d’autres époques je parlerai de ce sang Espagnol Anarchiste qui me brule les veines. Les pouvoirs politiques successifs de la France me préserveront toute ma vie de clamer mes origines françaises. On m’a cru Grec, Juifs, Portugais, Libanais, Algérien, et aujourd’hui beaucoup me croient marocain.
Aujourd’hui, après six mois ici, après 27 ans de souffle, après quelques générations méditerranéennes, après plusieurs siècles d’animosité, encore plus de siècles d’amibes, après ces millions d’années, le « petit Cédric » qui attends terrorisé « que ses parents viennent le chercher à la caisse centrale du magasin » a grandis et est soulagé d’être convaincu que tout ça c’est des conneries, que tous les pauvres humains qui séparent leur frères en race, divisent selon les religions, les couleurs, les tailles, que tous ceux là sont très pauvres et très démunis dans leur vie, que tous ceux là doivent être aidé, par la bande dessinée, l’art, la discussion, la vie… manaraf (je ne sais pas) walakin (mais) araf (je sais) qu’en combattant l’ignorance crasse imposée pour nous diviser, je suis très heureux, je dors bien, je suis aimé de frères, de parents, et, lhamdoulillah, de la plus merveilleuse création qu’il me fut possible de croiser, parler, sourire, et finalement grâce à la force de la vie d’aimer en étant aimé en retour.
Aujourd’hui, après six mois de vie, après cette longue « journée exemplaire » je rouvre un nouvelle page de cette histoire qui me passionne qui est ma vie, nos vie, nos histoires. Je cours les écrire, les dessiner, les vivres……
Cédric Driss Loic Luc Liano-Houbart-Giacalone-SSouri,
le 20 shi aja du mois 4 (avril) de l’année 2008 des cathos,
5000 et des bananes pour les juifs,
plus que 6000 pour les berbères,
plein de milliers pour les égyptiens et les amérindiens.
15 ème siècle de l’égyre (départ du messager Mohamed pour la ville de Médine)
Appartement de l’oncle Aziz, quartier Belvédère, a coté de la gare de train Casa Voyageur, Casablanca-Dar El Beida ; MAROC ; AFRIQUE ; MONDE ; SYSTEME SOLAIRE X ; UNIVERS ; ESPACE (pour plus grand encore demandez à un savant, y’en a forcément un autour de vous… mais regardez bien, il a peut être 7 ans ou a une couleur de peau différentes et sa mère cuisine avec des épices différentes de la tienne.)
Besslama.
Le dernier article conçu, dactilographié numériquement et non édité sur ce blog date de fin février. Il se voulait rigolo. Il rendait compte de 4 jours de travail et de rencontres intenses que je présentais comme une longue « journée exemplaire ».
Toujours, depuis que je suis ici, depuis que j’ai commencé cette nouvelle page de ma vie, depuis le mois 11 (novembre) revient cet obsession de vous conter cette incroyable distorsion temporelle qui me fait grandir de plusieurs jours en quelques heures. Mais prenez gare amis théoriciens, ceci n’est pas une loi mathématique tel les décalages horaires cher à Sir Greenwich. Je ne sais pas de combien j’ai vieilli, de combien j’ai grandi, de combien j’ai rajeuni… je sais que j’ai changé.
6 mois… 6 points de suspensions……
Bref l’article de fin février 2008 racontait des journées pleines de nouvelles, puis d’autres nouvelles se sont ajoutés, d’autres journées passant trop vite pour les coucher sur pc, trop pleine pour prendre le temps (si agréable pourtant) de laisser ses doigts courir sur des claviers QWERTY ou AZERTY sur lesquels les lettres sont imprimées en plusieurs langues, ou les touches restent parfois enfoncées au fond de leur logement en traçant sur l’écran ces lignes aux qualités graphiques indéniables mais assez chiantes assez vite…
Je voulais faire cet « article blague » pour vous dire combien c’est bon de s’allonger fatigué et de dormir d’un trait pendant quatre heures, ou seulement deux (ou une). Dormir comme on fait une sieste réparatrice. Au réveil, aucun problème d’oreiller aimanté. Puis recommence une nouvelle riche journée… pourtant désormais impossible d’envoyer cet « article blague » daba (maintenant) pour cause de perte de clé USB, gardienne de beaucoup de mes secret, travaux et amours. M’enfin c’est la vie ma Lili comme dit ma mère, la vida dé mierda comme disait Tonio et comme dit Jean Louis, denia henia (la vie est belle) comme disent les jibli chémélie.
En parlant de chémel (le nord), après avoir eu l’honneur et le privilège d’être adopté par les ch’minots ch’ti du ch’nord dl’ France et les soussi (habitant du sud) de la Belgique au cours de la dernière décennie, ces derniers 6 mois m’ont offert la naturalisation chémélie et soussi que je cherchais dans ce pays du Maroc qui abrite les dépouilles et les tombeaux de mes aïeuls (dont celui qui blasphémait, était putassier, homme d’honneur, travailleur, boiteux, ivrogne et grand père inoubliable susurrant surement de temps à autres « que vida negra, vida de mierda »).
En filigrane durant les quelques 20 dernières années de ma vie se posait cette bonne vieille question récurrente de mes origines au sein de mon cerveau et de mon cœur. Ce bidule existentiel nait de la remarque balancé au cours d’une joute verbale concernant la virilité paternelle (et donc indirectement la notre) par mon camarade de classe, ami a contre cœur car fils du plus gros client de mon père qui essaya de recréer entre deux gosses les rapports dominant / dominé, dentiste (son malhonnête de père) / prothésiste dentaire (le plus fort de tous les pères, le mien), il recréa ce dont son malhonnête de père devait éructer le soir au repas, les sons dégoutants de celui qui se croit fort maudissant celui qui se croit faible…… mais l’histoire corrigera le père malhonnête et le fils innocent car mon père enverra se faire foutre ce dentiste escroc (ce qui occasionnera une légère disette à la maisonnée) et je frapperai d’un magnifique coup de pied style Bruce Lee dans la nuque de ce branleur de mouche occasionnant un traumatisme suffisamment grave pour qu’il s’évanouissent pour de faux et ainsi me couvre de réprimande et de remords.
Mais revenons à l’altercation fondatrice de feu mon complexe originel ; un petit gosse de 7 ans sans poil a la quéquette qui m’envoie dans la face d’imbécile caractérisant cette période pénible de ma vie:
-« de tt’ façon t’es qu’un bounioul toi, ton père il est immigré ! Parfaitement !!! C’est mon père qui l’a dit !!! Et les autres, écoutez !!’COUTEZ LES AUTRES!!! LE PERE DE CEDRIC IL EST MEME PAS FRANÇAIS, C’EST QU’UN SALE BOUNIOUL !!! »
Je dois vous avouer que je ne comprends pas encore les sens et subtilités des mots « BOUNIOUL » et « IMMIGRé ». Ce que je comprends très bien en revanche c’est que cet ****** m’attaque sur un sujet que mon père et mes oncles barbus traitent en riant, les yeux humides, racontant ces histoires d’un pays au delà des mers, un lieu où ils ont grandis sous les rayons du soleil, au milieux de beaucoup de jeux, de dangers, de devoir et parfois de peine, de beaucoup de vie. Une maison où lors du moment sacré du repas la grand-mère demande le sel en italien, la belle-mère de sa fille lui tends en espagnol, ou le gosse juronne en arabe dialectal et ou la mère l’engueule en dialecte français. Une maison ou certaines prient dévotement quand leur époux cavale de port en port, d’autres sont soigneuse du feu reconnu et renommée, ou les gosses se cachent, braillent et rigolent excédant un père qui travaille dans cette ancienne médina de Casablanca que je foulerai au bras de la femme que j’aime quelques décennie plus tard cherchant les échos de ces moments. Un monde, une époque que je ne connais que lorsque bravant le sommeil et les injonction à filer dans ma chambre tout en haut, je reste près d’eux en bas, près des grands qui émerveillent mon imagination avec des odeurs, des paysages, des histoires fantastiques qui résonnent plus que jamais aujourd’hui.
Ce gros ***** de sa ***** *** m’attaque sur tout ça dans cette cour de récré ou la chasse au fille reste mon activité essentielle et favorite. L’enculé de sa race… devant les filles il m’insulte sur un passé dont je ne suis en rien responsable, sur une histoire, passé. J’en suis fier à l’intérieur malheureusement pour nous tous, je suis faible et lui répond que « TOUT CA C’EST DES CONNERIE, ET QUE C’EST SON PERE A LUI QU’EST QU’UN SALE BUNIOUILLE !!! QUE MON PERE C’EST UN VRAI FRANÇAIS » Son père est châtelain, sa mère châtelaine et des particules se baladent dans son nom de famille… je sais tout ça, je sais que son père est plus français que le mien. Mais à cet instant je ne sais à quel point cela n’a d’importance que dans l’enrichissement que cette différence peut apporter.
Je suis faible alors…
Je suis faible donc je me trahis.
Je sais que mon père vient d’ailleurs et j’adore ces histoires d’ailleurs. Je n’avais jamais pensé à en tirer quelconque fierté ou honte. Ma faiblesse et la langue de Thibault m’insinuent la peur, le doute, la crainte, le rejet et le devoir d’affirmer une chose que je ne comprends toujours pas aujourd’hui. Une nationalité.
Je vais dès cette âge jouer sur mes différentes et nombreuse origines (qui sommes toute ne reste que méditerranéenne…), les étalant et les triant en fonction de mes envies de mensonge pour flatter mon orgueil. Dans ma période fils d’origine italienne, fasciné par les film de mafia, je dirai à qui veux l’entendre que ma famille vient de Sicile, dans d’autres lieux et à d’autres époques je parlerai de ce sang Espagnol Anarchiste qui me brule les veines. Les pouvoirs politiques successifs de la France me préserveront toute ma vie de clamer mes origines françaises. On m’a cru Grec, Juifs, Portugais, Libanais, Algérien, et aujourd’hui beaucoup me croient marocain.
Aujourd’hui, après six mois ici, après 27 ans de souffle, après quelques générations méditerranéennes, après plusieurs siècles d’animosité, encore plus de siècles d’amibes, après ces millions d’années, le « petit Cédric » qui attends terrorisé « que ses parents viennent le chercher à la caisse centrale du magasin » a grandis et est soulagé d’être convaincu que tout ça c’est des conneries, que tous les pauvres humains qui séparent leur frères en race, divisent selon les religions, les couleurs, les tailles, que tous ceux là sont très pauvres et très démunis dans leur vie, que tous ceux là doivent être aidé, par la bande dessinée, l’art, la discussion, la vie… manaraf (je ne sais pas) walakin (mais) araf (je sais) qu’en combattant l’ignorance crasse imposée pour nous diviser, je suis très heureux, je dors bien, je suis aimé de frères, de parents, et, lhamdoulillah, de la plus merveilleuse création qu’il me fut possible de croiser, parler, sourire, et finalement grâce à la force de la vie d’aimer en étant aimé en retour.
Aujourd’hui, après six mois de vie, après cette longue « journée exemplaire » je rouvre un nouvelle page de cette histoire qui me passionne qui est ma vie, nos vie, nos histoires. Je cours les écrire, les dessiner, les vivres……
Cédric Driss Loic Luc Liano-Houbart-Giacalone-SSouri,
le 20 shi aja du mois 4 (avril) de l’année 2008 des cathos,
5000 et des bananes pour les juifs,
plus que 6000 pour les berbères,
plein de milliers pour les égyptiens et les amérindiens.
15 ème siècle de l’égyre (départ du messager Mohamed pour la ville de Médine)
Appartement de l’oncle Aziz, quartier Belvédère, a coté de la gare de train Casa Voyageur, Casablanca-Dar El Beida ; MAROC ; AFRIQUE ; MONDE ; SYSTEME SOLAIRE X ; UNIVERS ; ESPACE (pour plus grand encore demandez à un savant, y’en a forcément un autour de vous… mais regardez bien, il a peut être 7 ans ou a une couleur de peau différentes et sa mère cuisine avec des épices différentes de la tienne.)
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